29 avril 2006

JOURNAL DE BORD IX


Tempête à bord, les vents claquent, les cordes se tendent, les bois craquent, les peaux se dessèchent. Le capitaine tant attendu ne montera pas à bord. Il nous faut encore changer de cap. L’équipage se rebiffe, oye como va, mais, rapidement, le professionnalisme que nous commençons à développer prend le dessus. Le corsaire a réussi sa mission, qu’importe le barreur, notre équipage est soudé et peut tout affronter.