29 avril 2006

P..T..N DE JOURNAL DE BORD

Ne me demandez pas pourquoi le "Journal de bord I" s'affiche après le n° X...
Il est 22h00, je suis créve et je vais m'arréter ici.
Je vais essayer de me dépécher pour publier les photos à ma disposition, sous forme de liens vers des fichiers "zippés".
Mais, comme vous n'êtes pas mes seuls élèves, qu'il y a beaucoup de matériel, n'hurlez pas si je ne fais pas tout ça pendant la nuit pour que vous l'ayez tout chaud demain matin (n'est-ce pas Anton !)
Si vous avez des photos à publier, amenez moi vos cartes mémoires en répétition.

Encore bravo, le concert n'était pas si moche... pas parfait... mais loin d'être mauvais...si, si j'insiste

JOURNAL DE BORD X



Cannes nous voilà !!! Nous, les vieux loups du fort, nous qui en avons vu et revu tout au long de ce périple, nous sommes prêts à tout pour vous faire partager notre expérience, nos sensations. Nous sommes les maîtres du monde, we are the champions, nous sommes indestructibles.

JOURNAL DE BORD IX


Tempête à bord, les vents claquent, les cordes se tendent, les bois craquent, les peaux se dessèchent. Le capitaine tant attendu ne montera pas à bord. Il nous faut encore changer de cap. L’équipage se rebiffe, oye como va, mais, rapidement, le professionnalisme que nous commençons à développer prend le dessus. Le corsaire a réussi sa mission, qu’importe le barreur, notre équipage est soudé et peut tout affronter.

JOURNAL DE BORD VIII


La semaine passe, les quarts se succèdent et le cafard s’installe. Nos familles sont au loin, elles commencent à nous manquer. Faut-il rester, faut-il partir, ou simplement languir ? Une mélodie dans la nuit, un espoir qui luit et un lendemain qui chante. Nous reviendront mais pas maintenant, il nous faut encore apprendre et profiter.

JOURNAL DE BORD VII


Mais que faisions nous dans cette galère ? Pagayer, que non point ? S’époumoner, de moins en moins. Explorer, sans aucun doute. Les morceaux défilent, les instructions fusent, les ampoules éclosent, les lèvres se fendillent. Fi de toutes les règles, sans peurs ni reproches, nous affrontons les plus hauts sommets. Nous sommes enfin arrêtés, stoppés net dans notre élan, rattrapés par la loi énoncée pour la première fois en 2026 par le grand Augustus Vlad :

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JOURNAL DE BORD VI


Connaissez vous cette phrase célèbre : « Que ce jour reste gravé dans vos mémoires comme celui où vous avez failli capturer le capitaine Jack SPARROW » Nous, on pourrait résumer notre folle équipée en paraphrasant : « Que ce jour reste gravé dans nos mémoires comme celui où nous avons failli continuer à brailler. » Un pirate à la barre, un de ceux qui a écumé plus d’un concert, sabordé plus d’un pupitre, raflé plus d’un solo, bref un trompettiste, un boucanier, un vrai ! Et là, soudain, la musique jaillit.

JOURNAL DE BORD V


Il n’y a pas que la pratique dans notre vie. La théorie y a sa place aussi. Oui, on peut jouer du cor couché. Oui, frapper sur de métal c’est aussi s’éclater. Mais, le plus important, la substantifique moële de tout cela se résume à une unique problématique. Un conférencier nous l’a démontrée magistralement. La seule question, celle qui nous conduira vers la vérité, c’est : « Where is Brian ? »

JOURNAL DE BORD IV


Les chefs d’équipages nous l’ont dit : « si vous êtes là, c’est pour jouer pas pour rêver ». Les notes s’amoncellent, les tempi s’accélèrent et les trompettes exagèrent. Ni la force, ni la ruse, ni la menace de la Royal Navy n’y font goutte. Seule la crainte du faux pas, de l’écueil du couac, les découragera peut être de prendre le foyer à l’abordage

JOURNAL DE BORD III


Première mission, premiers émois. Se retrouver dans ce dédale bruissant de coursives végétales. Le noir est mis, attention à la marche, l’ouvreuse a perdu ses piles. Spectacle éblouissant de calme et de fraîcheur d’une dentelle de granit sur-tachée de lucioles humaines. Bercés par la houle, nous rejoignons nos quartiers, apaisés.

JOURNAL DE BORD II



Enfin débarqués, mais moi, je préfère embarqués. Embarqués sur ce grand vaisseau qui un jour, allez savoir pourquoi, a jeté l’ancre pour ne plus jamais la relever. La surprise est de taille. Nous avons un premier maître des plus inattendus. D’un autre côté, Sainte Marguerite veille sur nous, elle nous a octroyé deux bonnes fées.

JOURNAL DE BORD I


Emportés par la foule, qui nous pousse et nous refoule, nous voilà séparés : embarqués, sur le quai.
Certains diront que nous sommes retardés. Mais non, nous nous sommes juste attardés pour réussir à ne pas monter à pieds.

CONCERT DE FIN DE STAGE : COMMENTAIRES D'APRES BATAILLE

OUF, ça y est, le stage est fini et le concert est passé.
Je vais pouvoir me reposer un petit peu...
Le concert s'est bien passé. Bien sûr, il y a eu des plantouilles, mais aussi de la belle musique. En écrivant ces mots je ré-écoute Princesse Mononoké et tout le début est fabuleux. Autre super moment, les solos des cors, de Gabe et de Sandra.
Surtout, le son de toute cette bande d'apprentis pirates est cohérent et musical, rien de criard, pas de notes poussées, un bel équilibre, bref tout ce que j'aime.
Alors ouaip Anton, t'es pas content de "ton" concert mais après une semaine à bosser comme des fous, une nuit blanche, des gersures, moi je dis BRAVO